Mon voisin le cadavre.

Salut tout le monde, je viens de découvir sur un forum un jeu qui m'a parut bien sympa et je voulais vous le faire partager.
Peut-être le connaissez vous, il s'agit de "mon voisin le cadavre".
Le but est d'imaginer la manière la plus horrible de tuer le posteur précédant avec l'objet donné par celui-ci.


Voilà, je commence : essayez de me tuer avec ceci : ==> Eponge <==

Valei avait défié une fois de trop son chef. Welden attrapa Valei par la fourrure, le plaqua à terre et se saisit du premier objet qui lui tomba sous la main ; c'était un éponge. Une éponge de la marque Spontex, avec un côté vert plus corrosif qu'un vieux chewing-gum mâché depuis 3 jours...

Welden commença littéralement à frotter Valei, et grâce à une détermination sans faille et beaucoup d'huile de coude, les différentes couches de Valei succombaient petit à petit, d'abord les poils, puis la peau, les muscles pour enfin finir par gratter l'os. Après de longue heures de travail, Welden avait une énorme crampe au bras droit, mas durant ces dernières longues heures d'agonie Valei s'éteignit, poncé à mort...


Allez, essayez de me tuer avec : une paille

Ombregriffe en avait assez des ordres donnés par son chef, et en plus, il avait tué son pote Valei d'une façon horrible. Il décida de lui faire la peau. Il le trouva et se jeta sur lui par surprise, lui assénant une belle droite dans la mâchoire. Il s'empara la première arme qui lui tomba sous la main : c'était une paille qui trainait sur la table, entre un verre vide et quelques gouttes de bière. Un belle paille longue et solide.

Avec le bout pointu, il frappa les yeux en premier, lui déchirant les paupières et la cornée. Quand les deux yeux furent complétement ensanglantés, et d'un coup sec, il lui planta la paille dans la gorge, et la poussa pour la faire ressortir par la bouche. Il attrapa les deux extrémités et tira de toutes ses forces, arrachant la peau et les muscles. Welden avait le cou écartelé, ouvert, écorché, déchiqueté, bref il était totalement défiguré, et mourut peu après dans une mare de sang et avec un râlement étrange.

Maintenant, faites moi subir une morte atroce et bien douloureuse avec.... un chausson.

Ce chausson appartenait à Marcel, le clodo du coin. 25 ans de rue sans avoir vu un seul bain. Ce n'était plus un chausson mais une arme chimique et bactériologique.
Aidé d'une combinaison NBC, je me procurai cette bombe virale et nauséabonde.
Ombregriffe n'eut pas l'ombre d'une chance : à peine en contact avec le terrible fléau son nez se mit littéralement à fondre. En quelques minutes une sorte de teigne lui fit perdre l'ensemble de ses poils. Puis il fut rapidement recouvert de bubons verdâtre et purulent.
L'éruption pestilentielle atteint son apothéose lorsque le corps explosa tel un bouton d'acné trop mûr.

Il ne resta rien d'Ombregriffe, hormis un liquide glauque, visqueux et sans doute hautement contagieux.

J'attends ma mort avec la planète Mars (ou Vénus si vous préférez).

Alycia avait eu pour tâche de faire faire les compte de la meute, la nourriture, les munitions etc... Une tâche bien ennuyante, mais ces camarades, histoire lui apporter leurs soutiens faisait un vacarme monstre dans la pièce d'à coté.

La colère envahissait peu à peu l'esprit de la louve et sans qu'elle le veuille, se retrouva en forme lycante. Enfin histoire de faire disparaitre tout sentiment humain encore présent elle se rendit compte qu'elle avait décalé d'une ligne deux heure auparavant, rendant son travail complètement faux.

C'en était trop, elle alla dans la pièce d'à coté, sur le chemin elle vit le mini-système solaire que Welden et Valei peignaient à chacune des réunions ,elle la saisie et une fois entré lança Jupiter de toute ses forces vers le seul être debout, Bonecrusher.
Le pauvre, ivre de sa victoire n'eut pas le temps de réagir et se prit la planète dans la tempe, seulement sonné ils put voir la louve reprendre une nouvelle arme, pluton cette fois.
La planète était trop petite pour être stoppé, Bone heurta le mur à demi conscient, c'est alors qu'Alycia pris la planète rouge.

La louve lança la petite planète encore et encore sur le pauvre loup et pour une raison inconnue, elle reprenait tout le temps la même petite planète rouge, qui prenait de plus en plus la véritable forme de la planète (rouge et légèrement cabossé).

Cela faisait dix bonnes minutes que la louve lançait ainsi le jouet, dans un ultime lancé elle réussit à l'enfoncer dans le reste de boite craniene de Bonecrusher, il avait été lynché à mort. Le plastique étant complètement écraser, Alycia arrêta sa folie meurtrière et repartie dans son bureau pour finir la mission qu'on lui avait confié.


Voila, voila, le prochain devra m'avoir avec ...... un pièce de monnaie !

Épuisée par sa dernière tuerie, Alycia finit par s'endormir sur son bureau, la tête penchée en arrière et la bouche grande ouverte, un mince filet de bave s'écoulant lentement de ses gracieuses commissures.

Drauglith, qui en pinçait pour la louve, s'approcha lentement de cette dernière avec deux idées en tête : simplement la regarder sans craindre d'être mordu, ou tout simplement passer son chemin. Il écarta rapidement l'idée d'un baiser volé ou d'une mauvaise farce car la réaction de l'intéressée pourrait s'avérer regrettable pour le jeune Drauglith.

Comme à son habitude, Drauglith ne su que choisir et préféra s'en remettre à sa bonne vieille pièce du destin, une vieille pièce de monnaie qui lui avait maintes fois évité de regretter ses choix. D'une pichenette du pouce, il la lança mais, tellement perturbé par la vue d'Alycia, si vulnérable et si désirable, il ne pu retenir un tremblement qui fit partir la pièce trop haut et trop loin pour qu'il puisse la rattraper... La pièce de monnaie virevolta et alla se loger droit au fond de la gorge de la jeune louve qui s'étouffa avec. Elle lança un ultime regard désespéré à Drauglith, qui resta figé devant ce spectacle aussi stupide qu'horrible...

Voilà, c'est tellement triste que ça m'donne envie d'pleurer. Quelqu'un a un mouchoir ?

Black£White, ne pouvait pas laisser Drauglith après qu'il ait essuyé un irréfutable échec dans son plan de séduction. Le jeune loup, dans un état d'hébétude totale, était en train de pleurer comme un gosse la bouche ouverte. Black£White décida donc de guérir le mal par le mal.

Elle sortit un magnifique mouchoir en tissu, propre, d'une vingtaine de centimètre de côté et fit face à un Drauglith encore figé et bouche bée par ce qu'il venait d'arriver. Dans un geste rapide et agile, elle lui enfonça le mouchoir roulé en boule dans la gorge et lui pinça le nez de l'autre. Drauglith tomba en arrière et la jeune louve posa ses genoux sur la poitrine du loup afin de l'écraser en maintenant toujours sa prise des deux mains. le visage mouillé et hébété du jeune loup commença alors par prendre une magnifique teinte violette qui finit par virer au bleu.

La jeune louve relâcha alors sa prise et se releva. En posant les yeux sur un mur, elle remarqua qu'un des tableaux accrochés était de travers.